La petite histoire du centre les langues sans stress
On ne vous cache rien sur les langues sans stress, le profil de l’intervenante et pourquoi vous allez vous aussi y arriver!
Il était une fois…
Une jeune maman qui resta ahurie face au manque de moyens (moyens attrayants existants pourtant sur la plateforme de l’Académie de Grenoble) mais très peu, voire pas mis en place dans les écoles, collèges et lycées pour aider les jeunes à s’initier avec plaisir puis apprendre à parler les langues étrangères de manière libre, correcte et sans stress.
Dans un autre siècle, cette maman avait abandonné toute idée de comprendre une langue dès la 6e au collège, elle avait pataugé ensuite jusqu’à la fin du BTS Tourisme, pourtant tourné vers l’utilisation des langues parce qu’elle visait l’Ecole du Louvre. Et puis elle se souvint des réflexions ‘tu es nulle’, ‘tu n’y arriveras JAMAIS’, ‘TU ne peux pas faire ÇA, tu n’es pas bonne en ceci ou cela’, tu ne peux pas apprendre ÇA C’EST TROP DUR POUR TOI’, ‘fais du dessin, continue le piano…’.
Ça vous rappelle quelque chose?
Eh bien, entre ces années difficiles en langues et 2015, il y a eu une prise de conscience de ses capacités personnelles, de sa volonté d’arriver à son but à cause de nombreux mois de solitude dans un pays étranger à la langue particulièrement éloignée de la nôtre – l’allemand – et de larmes car apprendre à l’étranger, seule, sans connaissances préalables de la langue et sans contacts: c’est l’horreur et ça demande beaucoup d’énergie … et aussi de volonté! Alors, non, l’immersion à froid, ce n’est pas la panacée!
Mais elle avait déjà tout laissé et là, elle tint bon. Elle passa les épreuves, trouva une école langues d’une autre dimension, plus humaine et axée sur la pratique plutôt que sur le pur savoir de la langue. Premier diplôme en main, elle fut embauchée en entreprise à plein-temps et dans une école de communication pour enseigner à mi temps : il fallait payer les cours intensifs et le loyer…! Moto : persistance à apprendre, persévérance à répéter des phrases, à parler parler parler pour dire tout et n’importe quoi, mais parler en introduisant plus de mots, en construisant petit-à-petit de meilleures phrases (ouh la, ça a pris du temps) et ce fut grâce à son professeur de langue, charitable, patient et très attentionné. Et les faits sont là : tout est possible à qui s’en donne le temps, la chance et les moyens! Oui, ça prend du temps, oui, c’est frustrant et encore oui, elle avait moins de loisirs que d’autres, elle maintint la cadence… et elle réussit !
Et voilà, avec une estime de soi, de ses capacités et compétences personnelles retrouvées, elle continua à apprendre, à travailler, à voyager… pendant très longtemps jusqu’à revenir en France pour s’apercevoir que rien n’avait changé en presque 30 ans – ah oui, quand même – en enseignement des langues ou en formation des enseignants de langues, peut-être. Son CV atypique affichant 7 langues fut rarement apprécié car elle est… française et que les Français ne savent pas parler des langues étrangères – vraiment?
En 2015, travailler en entreprise et conduire à des heures fixes et selon des contextes lumineux très particuliers n’étant plus possible car elle avait trop perdu d’acuité visuelle plus quelques autres soucis de santé, le tout très handicapant, la voici en situation de handicap pour de bon… Sans emploi et avec aucun moyen de travailler depuis son lieu de vie… loin des centres villes!
Dynamique et polyglotte, avec une expérience vaste de formatrice et collaboratrice en entreprise à des postes multilingues variés en France (Chambre syndicale des gestionnaires de patrimoine, Securitas, Mondi, IDM) et à l’étranger en Asie, Italie, Allemagne, USA – Grande Bretagne ou au Pérou (Hoffmann Automobiles/Volkswagen à Wolfsburg, Miro Computer, Die Leiter, Number One, Volkshochschule Braunschweig, Berlitz Frankfurt-am-Main ; Berlitz Bangkok ; Quickpack en Thaïlande, BOING et Kit-for-Kids ou encore El Buen Gusto à Lima), elle réfléchit autant à sa situation de handicapée sans emploi qu’aux mesures à prendre pour… faire avancer le ‘schmilblick’ de Coluche et proposer des cours différents aux personnes en ayant vraiment besoin.
Fondatrice Les langues sans stress
Le centre de formation LES LANGUES SANS STRESS est le résultat d’une trentaine d’années d’expériences très diverses et constructives.
Sa création fut la suite logique à une non-reconnaissance de ses handicaps par le milieu professionnel et médical il y a une dizaine d’années. Cette situation particulière l’a fait réfléchir au handicap et aux handicaps cachés, aux moyens mis en place et ceux encore ignorés par les apprenants eux-mêmes et professionnels, bien souvent., à tout ce qu’il reste à faire pour avancer malgré « la différence », qu’elle soit un handicap ou une gêne, une situation… handicapante très personnelle!
Dynamique, la voici en train de poser des questions autour d’elle pour comprendre la demande au cœur du Val Gelon, d’organiser des leçons, rechercher des ressources un peu partout dans le monde (si, si, jusqu’au Mexique et au Japon, en Thaïlande), puis trouver des espaces d’étude. Difficile de trouver de l’aide lorsque votre projet d’ouvrir des ateliers mixtes immersifs, bilingues parfois et des cours pour les jeunes, puis pour leurs parents et enfin pour tout le monde semble impossible aux interlocuteurs de l’époque car trop atypique… et sans futur (économique ?).
En effet, il lui fut répondu « ça ne peut pas fonctionner une école en 5 langues avec gestion du stress au milieu de La Rochette, n’importe quoi! Merci et (pas) au revoir. » – CC, mairies, CCI – sauf la CCI d’Albertville dont son interlocuteur et instructeur dans bien des domaines l’aida à monter ce projet.
Pourtant ce projet s’adressait à tous mais surtout, oui, aux personnes « vulnérables », soit, bien souvent les DYS, les handicapés et tous ceux qui en avaient le plus besoin, comme certains agriculteurs et employés ou ouvriers qui ont quitté l’école très tôt, pensant ne pas pouvoir par manque… de « cerveau », de mémoire, d’aptitudes, de moyens, de diplômes (ah bon, il faut un diplôme ou des études pour apprendre à parler une langue? NON). il faut s’y mettre, persévérer, être bien accompagné et croire en soi. Rien d’autre.
Comment remercier les premiers élèves, enfants et adultes qui lui ont fait confiance?
En leur disant MERCI, bien sûr, car leur soutien l’a convaincue de continuer, de grandir, d’ouvrir une école puis un centre de formation professionnelle certifié et référencé, d’apprendre encore et toujours plus pour mieux accompagner ses apprenants en proposant des moyens plus doux, plus dynamiques, plus joyeux, plus larges dans l’adaptation à leurs besoins individuels.
Réelle compréhension de la situation de stress du stagiaire
L’intervenante est aussi praticienne certifiée en accompagnement des clients pour relever leur estime, en hypnose bilingue anglais et massages de relaxation type Shiatsu sur habits et sur les parties visibles telles que la tête, le visage, les oreilles et les mains et en gestion du stress individuelle ou en entreprise. Elle propose des séances pour activer de bons réflexes d’apprentissage chez certains de ses stagiaires en difficulté ou en situation de handicap avec des préambules antistress en 5 langues.
Préparation mentale et hypnose
Aujourd’hui, il existe des moyens très simples à mettre en place pour aider l’apprenant à parler et comprendre plus vite et à développer ses acquis plus facilement, alors pourquoi ne pas les utiliser en langues? Il est évident que la formatrice est passé par différentes étapes pour arriver à apprendre correctement, parler avec confiance et comprendre naturellement son interlocuteur. Ce qui lui a pris LONGTEMPS n’a plus lieu d’être. Un accompagnement en préparation mentale aide l’apprenant à mieux comprendre son propre fonctionnement et à appliquer des règles de vie et d’étude, de pratique en concordance avec ses propres besoins et objectifs individuels.
Pendant cet accompagnement, lorsque des soucis ou freins à l’apprentissage apparaissent, l’hypnose de relaxation permet rapidement d’abaisser le niveau de stress, vaincre des peurs, des souvenirs négatifs ralentissant la progression de l’étude des langues et le développement de la confiance en soi. C’est aussi un super moyen de remonter le moral lorsqu’il fait froid, humide, qu’on est fatigué ou qu’on manque de motivation!
Le handicap, la différence
Formatrice en situation de handicap, son environnement au centre de formation est évolutif et totalement adapté pour lui permettre de travailler et coacher sur place dans des conditions optimales très sereines pour tous.
La conduite de véhicules ainsi que la lecture de petites et moyennes écritures ou sur écran est très préjudiciable à son état de santé. Ses déplacements en entreprise, collectivité ou à domicile doivent être confirmés au moment de la prestation et sont sujets à annulation de dernière minute. Mais tant qu’elle ne lit pas trop et travaille dans son environnement Les langues sans stress, il semble que la vue se stabilise suffisamment pour accompagner les stagiaires sans trop de contraintes.
En un mot pour finir la petite histoire…
Si votre formatrice a réussi en partant de pas grand chose et en voulant croire qu’elle pouvait le faire, VOUS POUVEZ AUSSI APPRENDRE UNE LANGUE et certainement bien d’autres choses pour aller encore plus loin qu’elle!
Maintien et développement de ses compétences
Selon les occasions, elle se forme à de nouvelles pratiques ou elle suit des modules intensifs en langues pour maintenir et élargir ses connaissances tout au long de l’année afin de vous offrir des prestations d’excellente qualité adaptées au monde qui évolue. Elle privilégie les voyages immersifs pour intensifier son ressenti au contact des habitants dans les pays étrangers, elle lit beaucoup – surtout sous forme audible – et écoute activement des heures durant des programmes en langues étrangères ; Toute l’année elle maintient ses connaissances en suivant des modules de préparation mentale et d’hypnose de manière régulière. Enfin, elle garde une oreille attentive à l’actualité mondiale et française, observe les changements de son environnement, des métiers, des personnes autour d’elle au fil des rencontres. Demandez-lui une adaptation, elle vous offre une personnalisation complète.
L’atout du coach les langues sans stress
Mot de l’intervenante :
« Toujours de bonne humeur et encline à tirer le meilleur de ma relation avec mes interlocuteurs, je sais ce qui est essentiel pour communiquer et interagir très rapidement car j’ai vécu et travaillé dans de nombreux pays sans en connaître parfois la langue que j’ai apprise sur place.
D’origine française, je ne peux évidemment pas être « native » dans chacune des cinq langues que j’enseigne, et c’est un vrai atout, car je sais combien il est difficile d’apprendre une langue étrangère quand on est français et en plus apprenant en France, soit sans contact direct avec des natifs ni en immersion quotidienne 24/24.
Grâce à 35 ans d’observation assidue au contact d’autres apprenants et à beaucoup d’expérience en tant qu’étudiante, je connais parfaitement les rouages de l’apprentissage des langues, les ressources écrites et audio pour s’immerger tous les jours dans la langue cible comme si on était réellement dans le pays d’accueil.
J’ai appris 9 langues au cours de ma vie, en France et à l’étranger, dans des écoles, seule en autodidacte avec manuel, en e-learning ou avec un professeur attitré.
Je parle 7 langues selon les opportunités et mes rencontres au quotidien.
J’enseigne 5 langues courantes et professionnelles certifiées depuis 2016.
Je continue de me former chaque année et de renforcer mes compétences dès que l’occasion se présente, toute l’année, même en France, sur place entre mes prestations.
Il m’est simple de reconnaitre les compétences à développer chez un stagiaire (qui ne sait pas parfois lui-même de quoi il est déjà capable), repérer comment renforcer les notions faibles selon son profil d’apprenant, éviter un ralentissement dû au manque de persistance ou à un refus -parfois involontaire- de suivre la méthode privilégiée et surtout le pousser à utiliser coûte que coûte toutes ses connaissances en atelier présentiel pour s’entrainer à mieux parler et comprendre avant un entretien professionnel décisif ou de partir à l’étranger. Prendre confiance en soi est une étape fondamentale dans le processus d’apprentissage des langues et demande persévérance autant que courage pour prendre la parole, renouveler ses efforts malgré les erreurs, répéter des dialogues jusqu’à assimiler les expressions en contexte et la prononciation parfois très éloignées de la nôtre…
Je suis à vos côtés dans un accompagnement individualisé mais non intrusif pour vous soutenir dans vos efforts bien gratifiants dès que vous commencez à prendre du plaisir à apprendre et que vous vous sentez à l’aise en communication orale !
Je comprends les difficultés qui apparaissent avec l’âge, un handicap ou un manque d’habitude à lire et à se concentrer sur des textes, ou simplement à se faire confiance et croire qu’on peut y arriver… J’adapte mon accompagnement, mes ressources et mes parcours dans la mesure du possible pour répondre à chaque situation présentée en amont de la formation. Je vous attends pour de beaux moments d’échanges dans la ou les langues que vous souhaitez utiliser pour mieux communiquer au quotidien, pendant vos fonctions et vos voyages, pour faire de belles rencontres sans stress ni complexe. »
Mon objectif personnel de résultat
Grâce à mon écoute, mon approche antistress et dynamique, mes ressources et une méthode très efficace, je mets tout en place pour vous…
… amener à communiquer avec fluidité et plaisir dans la ou les langues d’étude,
… éviter le stress de la prise de parole, vous sentir à l’aise face à votre interlocuteur ou plubic
… faire oublier de mauvais souvenirs d’apprentissages difficiles ou d’efforts infructueux,
… faire aimer apprendre et communiquer en langues étrangères!
À très bientôt pour de belles heures d’échanges dans la l’anche de votre choix : anglais, allemand, espagnol, italien ou français (et thaï pour les vacances!).
Valérie